Encore pris d’insomnie
En somme le somme me nie
Déjà 4 heures ont dépassé minuit
Et dépossédé mon crâne
De ses craintes et ses envies
Etrange
Ds ces moments j’me sens en vie
Pourtant mon crâne cogite
Près à exploser
Comme les 2capite
Du 11/09 qui se monde à changer
C’est pas nouveau
Mais nos chaines se ressère
Plus d’un le ressente
Et pourtant
Aucune révolution ne se resense
Somme nous reparti dans le sens de l’obscurantisme
A ce détail
Il y a tellement d’œil numérique
Braquer sur le globe
Qu’on ne voi plus la souffrance qui s’y applique
Ou du moins beaucoup en font abstraction
Rêve de bonheur absolu
De soirée devant leurs télévision
On sert du merveilleux
De la merde plein les yeux
Des artistes creux
Et des show pour égailler les vieux
Ma tête éparpiller
Comme un cœur après le passage d’un pieux
Pour moi l’homme est un pleutre
Si il ne voit pas ses erreurs
Et tends à faire mieu
Voici mes songes
Et moi juste au milieu
Parmi des miliards
A la merci de fumeurs de gros cigards
Alors que les ?homeles ? garnissent les gards
Et tends se trainent le regard avand
Vidé de vie
Epuisé par un système ne prenant que les meilleurs
Bâtissant des institut° pour soigner ceux qui on mal au cœur
On te fait croire qu’on s’occupe de tout
Mais on augment sa richesse personelle
C’est tout
Et c’est 2 tours
On donner la voi libre aux fous
Vois les s’emparer
De territoire riche, sans pareils
Sans rien payer
Au nom de la démocratie
De la liberté
De leur propres mains mille fois baffoué
Une baffe
Non
Un milliard de coup de fouet
Pour Monsieur Bush
Ceux qui le manipule
Tant qu’on y est
Pour les pédophil
Qui dans ?main ? et l’monde entier pullule
Dans le fond
L’histoire se répète
Un cycle imuable
Mais depuis les colons
Les armes sont devenu ravageuse
Les connaissance se sont accruent
L’informat° s’est développé
Pour mieux servir l’illusion
Et de mensonge t’envelopper
Au plus l’homme évolue
Au plus son risque
D’auto-destruction s’évalue
Dans ses folies scientifiques
De dépasser la vie
Bientôt un clône dans chaque famille
Bientôt une puce éléctronique dans ton crâne
Afin de controler tes rêves
Tes pensées
Te mener là où il on envie
Mon amour
J’ai peur pour nous
Nous ces jeunes à l’avenir flou
Emprisoné par le flouz
Dingue comment beaucoup on le blouz
Et fume à s’asphyxier les sens
Nous on se cré des liens
On en refusent d’autres
Voila comment
Dans tant de préjuger
On se votre
Peut ê votre cas
N’est pas le mien
Peut ê vous avez bu
Trop de vodka
Vous me comprenez
Pas bien
Peut-ê trop comprimé
A force de déprimé
Ouais il est triste le monde
Que je dépeind
Des pantins
Dévalant la pante de la fin
Celle-ci commence quand on refuse
Au autres les droites pour lesquels on s’est battu
La liberté de penser
De vivre décament
Regarde résament
Les réfugié parmi
Notre jeunesse futur maître du monde naissante
Si ce n’est que des cendres
Il ne restera rien de ce monde
Adieu la blanche colombe
Mec ça pue
Jusqu’au sang de ton pule
Celui versé par un môme minuscule
Accroupi, pour 2 roupi
A fabriquer ces fringues
Qui nous rendent si fier ici
A quoi t’ésites face à ce que j’avance
Ça m’étonne pas
Mais laisse le temps ouvrir tes yeux
Et ta souffrance
J’rigole quant on me dit
Les horreurs de 40 ne se reproduiront plus
Pourtant on bati
Des murs de pierre autours d’un peuple en Palestine
Ni moins, ni plus
Ha, la voila bien pale ton estime
Pour cette ère mondial
A l’affut du moindre centime
Et tu crois que nos dirigent s’en indigne
Encore pris d’insomnie
En somme le somme me nie
Déjà 4 heures ont dépassé minuit
Et dépossédé mon crâne
De ses craintes et ses envies
Étrange
Dans ces moments j’me sens en vie
Pourtant mon crâne cogite
Prêt à exploser
Comme les décapités
Du 11/09 que ce monde a changé
C’est pas nouveau
Mais nos chaînes se resserrent
Plus d’un le ressent
Et pourtant
Aucune révolution ne se recense
Sommes-nous repartis dans le sens de l’obscurantisme
À ce détail
Il y a tellement d’œils numériques
Braqués sur le globe
Qu’on ne voit plus la souffrance qui s’y applique
Ou du moins beaucoup en font abstraction
Rêvent de bonheur absolu
De soirée devant leurs télévisions
On sert du merveilleux
De la merde plein les yeux
Des artistes creux
Et des shows pour égayer les vieux
Ma tête éparpillée
Comme un cœur après le passage d’un pieux
Pour moi l’homme est un pleutre
Si il ne voit pas ses erreurs
Et tend à faire mieux
Voici mes songes
Et moi juste au milieu
Parmi des milliards
À la merci de fumeurs de gros cigares
Alors que les homélies garnissent les gares
Et tant se traînent le regard avant
Vidés de vie
Epuisés par un système ne prenant que les meilleurs
Bâtissant des institutions pour soigner ceux qui ont mal au cœur
On te fait croire qu’on s’occupe de tout
Mais on augmente sa richesse personnelle
C’est tout
Et c’est deux tours
On donne la voie libre aux fous
Vois-les s’emparer
De territoires riches, sans pareils
Sans rien payer
Au nom de la démocratie
De la liberté
De leur propres mains mille fois bafouées
Une baffe
Non
Un milliard de coups de fouet
Pour Monsieur Bush
Ceux qui le manipulent
Tant qu’on y est
Pour les pédophiles
Qui dans l’monde entier pullulent
Dans le fond
L’histoire se répète
Un cycle immuable
Mais depuis les colons
Les armes sont devenues ravageuses
Les connaissances se sont accrues
L’information s’est développée
Pour mieux servir l’illusion
Et de mensonges t’envelopper
Au plus l’homme évolue
Au plus son risque
D’autodestruction s’évalue
Dans ses folies scientifiques
De dépasser la vie
Bientôt un clone dans chaque famille
Bientôt une puce électronique dans ton crâne
Afin de contrôler tes rêves
Tes pensées
Te mener là où ils ont envie
Mon amour
J’ai peur pour nous
Nous ces jeunes à l’avenir flou
Emprisonnés par le flouze
Dingue comment beaucoup ont le blues
Et fument à s’asphyxier les sens
Nous on se crée des liens
On en refuse d’autres
Voila comment
Dans tant de préjugés
On se vautre
Peut être votre cas
N’est pas le mien
Peut être vous avez bu
Trop de vodka
Vous me comprenez
Pas bien
Peut-être trop comprimé
À force de déprimer
Ouais il est triste le monde
Que je dépeins
Des pantins
Dévalant la pente de la fin
Celle-ci commence quand on refuse
Aux autres les droites pour lesquels on s’est battu
La liberté de penser
De vivre décemment
Regarde récemment
Les réfugiés parmi
Notre jeunesse, futurs maîtres du monde naissant
Si ce n’est que des cendres
Il ne restera rien de ce monde
Adieu la blanche colombe
Mec ça pue
Jusqu’au sang de ton pull
Celui versé par un môme minuscule
Accroupi, pour deux roupies
À fabriquer ces fringues
Qui nous rendent si fiers ici
À quoi t’hésites face à ce que j’avance
Ça m’étonne pas
Mais laisse le temps ouvrir tes yeux
Et ta souffrance
J’rigole quand on me dit
Les horreurs de 40 ne se reproduiront plus
Pourtant on bâtit
Des murs de pierre autour d’un peuple en Palestine
Ni moins, ni plus
Ah, la voila bien pâle ton estime
Pour cette ère mondiale
A l’affût du moindre centime
Et tu crois que nos dirigent s’en indignent