L’âme triste
Les larmes pissent
On marche sur un champ de braise
Entouré de chacal ne voulant que l’paise
Ou l’baise
Dur de rester à l’aise
Quand ça pète à l’est, à l’ouest
Dans ce monde on s’étripe
Pour prouver qui est le best
Que des bêtes
Des plus bas bafond
Au plus hautes têtes
Contrôler, manipuler, enfermer, observer
Comme dans une éprouvette
On s’en send éprouvé
J’en veux pour preuve
Tout ce sang
Ce monde sans plus de sens
Toutes ces âmes blessés, blazés
Vidés de confiences
Tu send
Une planète pourrie, louche
Pourtant
Tous sourient, se couchent
Alors que la misère, la faim, la mort, la guerre, la pauvreté
Touchent des populations oubliés
Les dévastent
Comme une sismique secousse
C’est si sinique
Car si mini sont les secours
L’équilibre planètaire
Ne trouve pas son parcours
Pourtant le mal est partout
Souvant générer par mes frères ! babtou !
Se disant généreux mais raflant tout
Voila notre rafale
Un refus à ce qu’ils veulent
Qu’on avale
J’te jure j’ai mal
L’esprit fatigué
Par tant d’inégalité
Tellement mon gars
Que t’en a pas l’idée
Visage pâle, mais pas aliéné
Bien décidé d’aligné
Tous ces chiens
Ayant décidé d’condamner
Tant d’être humain
Pour leur propre prospérité !
L’âme triste
Les larmes pissent
On marche sur un champ de braises
Entouré de chacals ne voulant que le pèze ou la baise
Dur de rester à l’aise
Quand ça pète à l’est, à l’ouest
Dans ce monde on s’étripe
Pour prouver qui est le best
Que des bêtes
Des plus bas bas-fonds
Aux plus hautes têtes
Contrôlés, manipulés, enfermés, observés
Comme dans une éprouvette
On s’en sent éprouvés
J’en veux pour preuve
Tout ce sang
Ce monde sans plus de sens
Toutes ces âmes blessées, blasées
Vidés de confiances
Tu sens
Une planète pourrie, louche
Pourtant
Tous sourient, se couchent
Alors que la misère,
la faim, la mort, la guerre, la pauvreté
Touchent des populations oubliées
Les dévastent
Comme une sismique secousse
C’est si cynique
Car si minis sont les secours
L’équilibre planétaire
Ne trouve pas son parcours
Pourtant le mal est partout
Souvent généré par mes frères ! babtou !
Se disant généreux mais raflant tout
Voilà notre rafale
Un refus à ce qu’ils veulent
Qu’on avale
J’te jure j’ai mal
L’esprit fatigué
Par tant d’inégalité
Tellement mon gars
Que t’en a pas l’idée
Visage pâle, mais pas aliéné
Bien décidé d’aligner
Tous ces chiens
Ayant décidé d’condamner
Tant d’êtres humains
Pour leur propre prospérité !